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TDPM : quand le syndrome prémenstruel devient un enfer

Chaque mois, des millions de femmes ressentent des changements physiques et émotionnels à l’approche de leurs règles. Mais pour certaines, ces fluctuations hormonales se transforment en un véritable calvaire. On ne parle plus ici de "simple SPM", mais d’un trouble sévère, invalidant et encore trop méconnu : le Trouble dysphorique prémenstruel, ou TDPM.

Qu’est-ce que le TDPM ?

Le TDPM est une forme grave du Syndrome prémenstruel (SPM). Il s’agit d’un trouble psychique et hormonal qui survient dans la phase lutéale du cycle menstruel, soit environ 1 à 2 semaines avant les règles, et qui disparaît dès leur arrivée ou peu après.

Ce trouble est reconnu dans le DSM-5 (manuel diagnostique des troubles mentaux) comme une affection psychiatrique, au même titre que la dépression ou les troubles anxieux. Il affecte environ 3 à 8% des femmes menstruées, et est souvent confondu avec une dépression classique ou un trouble bipolaire.

Les symptômes les plus courants

Les femmes atteintes de TDPM ne se sentent pas juste un peu irritables. Elles subissent des symptômes émotionnels et physiques sévères, parmi lesquels :

  • Crises d’angoisse, de colère ou de tristesse extrême.

  • Irritabilité intense, conflits interpersonnels.

  • Perte d’intérêt pour les activités habituelles.

  • Insomnie ou besoin excessif de sommeil.

  • Fatigue profonde, baisse de la concentration.

  • Pleurs incontrôlables, sentiment de désespoir.

  • Pensées sombres voire suicidaires.

  • Ballonnements, douleurs mammaires, maux de tête, douleurs musculaires.

  • Boulimie ou fringales sucrées.

L’errance médicale : un diagnostic encore trop rare

Malheureusement, beaucoup de femmes vivent avec le TDPM sans même savoir qu’il porte un nom. Elles entendent des phrases comme : « c’est normal d’être de mauvaise humeur avant les règles », « c’est les hormones, ça va passer », alors qu’elles se débattent chaque mois avec une détresse réelle.

Le manque de formation des médecins généralistes sur le TDPM et la banalisation des souffrances menstruelles entraînent souvent une errance médicale de plusieurs années. Certaines femmes finissent même par douter d’elles-mêmes, pensant être folles ou instables.

Les traitements conventionnels

Une fois le diagnostic posé, les options conventionnelles proposées sont les suivantes :

  • Antidépresseurs ISRS (comme la fluoxétine ou la sertraline) : souvent prescrits en prise continue ou uniquement pendant la phase lutéale.

  • Contraceptifs hormonaux : pour bloquer l’ovulation et réguler les fluctuations hormonales.

  • THS (traitement hormonal substitutif) ou agonistes de la GnRH dans les cas les plus graves.

  • Soutien psychothérapeutique.

Jeune femme allongée sur un divan avec une psychologue en face assise dans un fauteuil bleu et une table blanches les séparant

Mais ces traitements peuvent avoir des effets secondaires ou ne pas convenir à toutes. C’est pourquoi de nombreuses femmes se tournent vers des alternatives naturelles.

Des solutions naturelles pour soulager le TDPM

Même si le TDPM est un trouble sérieux qui peut nécessiter un suivi médical, il existe des approches complémentaires pour rééquilibrer les hormones, calmer le système nerveux, et soulager les émotions intenses.

Plantes et compléments naturels

Pour l’équilibre hormonal

  • Gattilier (Vitex Agnus-Castus) : aide à réguler la progestérone, souvent trop basse en cas de TDPM.

  • Achillée Millefeuille : soutien hormonal et tonique utérin.

  • Yam crème (Diosgénine) : favorise la synthèse de la progestérone et apaise les sautes d’humeur liées au déséquilibre œstrogène/ progestérone.

 Pour le système nerveux et l’humeur

  • Mélisse : calmante, agit sur l’anxiété et les troubles digestifs liés au stress.

  • Rhodiola, Ashwagandha, Éleuthérocoque (dans PhytoVital) : ce sont des plantes adaptogènes qui renforcent la résilience face au stress, soutiennent le système hormonal et réduisent l’inflammation.

Pour soutenir le foie

  • Pissenlit, Chardon-Marie, Hepareg : détoxifient le foie, un organe clé dans le métabolisme des hormones. Un foie surchargé peut aggraver les symptômes du TDPM.

Alimentation et hygiène de vie

Un mode de vie sain peut considérablement apaiser les symptômes du TDPM :

  • Privilégier une alimentation hypotoxique, riche en légumes crus ou légèrement cuits, oméga-3, graines (lin, courge, tournesol), légumineuses.

  • Éviter : aliments transformés, sucres raffinés, café, alcool, produits laitiers industriels.

  • Pratiquer une activité physique régulière (yoga, marche, natation…).

  • Mettre en place une hygiène de sommeil stricte.

  • Se protéger des perturbateurs endocriniens (cosmétiques, plastiques, pesticides…)

Notre sélection de compléments naturels pour vous accompagner

Chez Perfect Health Solutions, nous avons conçu une gamme de compléments alimentaires spécifiquement pensée pour les femmes traversant les différentes phases de leur cycle :

  • PhytoVital : soutien adaptogène anti-stress, régulateur hormonal.
  • Yam Crème : modulatrice hormonale naturelle.
  • Hepareg : allié de votre foie pour une meilleure gestion hormonale.

Ces produits s’intègrent dans une approche globale, respectueuse du corps et du cycle menstruel. 

Flcon blanc et vert Phytovital

Flacon orange et blanc Yam Crème

Flacon orange et blanc Hepareg

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Consultez en cas de doute

Cet article vous propose des pistes naturelles et complémentaires, mais il ne remplace en aucun cas une consultation médicale. Si vous soupçonnez souffrir de TDPM, nous vous encourageons vivement à consulter un(e) psychiatre ou un(e) gynécologue sensibilisé(e) à cette problématique.

Vous n’êtes pas seule. Et surtout, ce que vous vivez n’est pas "dans votre tête". Il est temps que les douleurs menstruelles et les troubles du cycle soient pris au sérieux.

Alexia Bernard 6 mai, 2025
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