Chère lectrice, cher lecteur,
Il est tombé au début du mois de mars : le rapport national sur les accidents cardiovasculaires de l’année… 2022.
Année ô combien cruciale, comme vous devez vous en souvenir, puisqu’elle faisait suite à une intense campagne d’injection expérimentale…
Cependant, la question des AVC interroge notre mode de vie toute entier. En effet, cela fait bien longtemps que les maladies cardio-vasculaires sont la cause de mortalité la plus élevée de nos sociétés…
Or il y a une chose que l’on ne vous dit JAMAIS.
C’est qu’il est possible, dès maintenant, de prévenir toutes les formes de maladie chroniques y compris les maladies cardiovasculaires.
Et pourquoi, d’après vous, on ne vous le divulgue pas ?
Les cardiologues ne veulent pas en entendre parler…
Je dois vous faire une petite confession.
L’année dernière, je suis retourné à la salle (de sport, s’entend) pour aller me remettre en forme. Ma femme trouvait mon embonpoint intolérable.
« Je t’y verrai, toi, à travailler 60 heures par semaine ! », lui répondis-je un peu froissé…
J’étais donc en colère, et je me suis dis que je pourrais mettre ce surcroît d’énergie à profit. « Eh tiens, et si j’allais courir un peu ? »
Donc je commence, et je remarque bien vite que le premier kilomètre est le plus long de ma petite existence tranquille.
Mes rotules grincent comme des vieilles roues de caddie, et j’ai l’impression que des jarrets de porc m’ont été greffés en lieu et place des mollets…
Ce n’est pas de l’air qui sort de mes poumons, mais un gaz corrosif qui me brûle jusqu’au narines. J’espère que ça va se terminer, mais ça ne s’arrête pas, quand bien même ce quart d’heure semble tutoyer l’éternité.
Après le premier kilomètre, mes nerfs ont décidé d’arrêter un peu de me torturer, mes muscles me permettent de mieux supporter mon poids, mais le répit ne sera que de courte durée…
Ce sont des litres qui semblent couler de mon front, et malgré les sourcils dont m’a doté la nature, je cours presque en aveugle… les yeux brûlés par la sueur.
Et puis je sens bien que, faute d’avoir une santé pulmonaire digne de ce nom, c’est mon cœur qui travaille à plein, et je commence à le plaindre. Au bout de deux kilomètres, je m’arrête pour de bon.
J’ai déjà vu mon oncle faire un AVC, et je connaît les symptômes : la bouche qui se tord subitement, un engourdissement de tout un côté du corps, l’impossibilité de parler… je n’ai surtout pas envie de vivre ça.
Mais j’ai quand même bien forcé. Presque 3 ans sans faire d’exercice, et là, d’un coup, un entraînement un peu athlétique…
Je rentre et je ne dis rien à sa femme, mais ça ne va pas suffire.
Mon pire rendez-vous chez le médecin
Pendant deux jours, je reste au lit. Je n’arrête pas de dormir, je n’arrive pas à travailler. Je n’ai pas mal pour autant, mais j’ai un peu peur.
Et puis… ma femme s’étonne, elle pose des questions, et je passe finalement aux aveux. Je me retrouve à prendre rendez-vous chez le cardiologue. J’en mourrais d’envie, comme vous pouvez vous y attendre.
« On ne plaisante pas avec ça », me lance ma bien-aimée. Quand je lui rétorque que ce n’est pas bien grave, elle me lance cette phrase terrifiante :
« Tu veux finir comme un légume, comme ton oncle ? »
Ça m’a laissé sonné. Alors j’y suis allé vite, et pour très cher.
Une fois chez le cardiologue, celui-ci était comme je m’y attendais : rigide, froid, cassant, à la limite de l’impolitesse. Sympathique comme un grand inquisiteur qui se donne le droit de vous dire comment vous devez mener votre vie.
Mon électrocardiogramme ? Correct. Rien d’alarmant. Mais devant si peu d’empathie de la part d’un professionnel si onéreux, je ne peux m’empêcher de lui poser la question qui fâche…
« Dites-moi, docteur, que pensez-vous de la nattokinase ? »
« Je pense que notre entretien est terminé », me suis-je fait répondre.
Cela n’a rien de surprenant : la nattokinase est une menace
pour les cardiologues et la supériorité morale dont ils se
targuent…
Un déboucheur d’artères à un prix plus qu’honnête
C’est ainsi que les Américains appellent la nattokinase. Du moins, ceux qui sont informés, car il se trouve que l’on CACHE à la population l’existence de ce remède.
D’ailleurs, il ne viendrait pas du Japon, pays qui est hors du cercle d’influence traditionnel des laboratoires pharmaceutiques occidentaux, que jamais vous n’en auriez entendu parler…
Car la cardiologie est une discipline d’une autorité indiscutable, puisque les maladies cardiovasculaires sont la plus grande cause de mortalité en Occident.
Ce cardiologue n’est pas le seul à penser qu’il lui revient de diriger la vie de ses patients et de les astreindre à la même existence austère que lui-même.
Les cardiologues sont devenus de véritables prêtres et se conduisent bien souvent en tant que tels, levant un œil scrutateur chaque fois que vous leur parlez d’un petit verre de vin…
Et d’ailleurs, ils ne sont pas les derniers à se terroriser eux-mêmes et à mener une existence terne, voire insipide.
Comme si le munster soignait le cœur…
Pourtant, la nattokinase n’a rien d’un remède si étrange. Au mieux est-il un peu exotique…
C’est une molécule qui se crée lors de la fermentation d’un haricot, base d’un plat japonais aussi odorant que le camembert ou l’époisse, et qui s’appelle le nattō.
Or la nattokinase commence à nettoyer vos artères dès la première prise, comme en témoigne une étude qui gagnerait à être célèbre…(1) et qui date déjà d’il y a 10 ans.
Au Japon, qui est le pays où l’on vit le plus longtemps, et où les problèmes cardiovasculaires sont bien plus rares que chez nous, c’est un remède tout à fait classique.
Tout le monde le connaît, là-bas !
Mais que voulez-vous ? La cardiologie occidentale, c’est avant tout un business, et un business très juteux. Il n’a guère envie de se réformer.
Vous imaginez ? Une petite molécule qui rend tous les appareils
compliqués obsolètes ? Qui remette en question 5 années
d’études spécialisées ?
S’il faut prévenir un pépin, c’est celui-là
Rappelons-le, un AVC, c’est un vaisseau qui éclate dans le cerveau, et qui peut donner lieu à une hémorrhagie potentiellement fatale, et qui, si elle ne l’est pas, est fortement handicapante.
Les vaisseaux cérébraux, pour leur petitesse, sont particulièrement sujets à ce type d’occlusion – les thromboses – mais elles peuvent se produire dans bien des endroits du corps, notamment à côté du cœur : les fameux infarctus.
Or la carte de France des AVC, que vous pouvez retrouver dans le rapport de Santé public france(2), est très instructive.
Bien sûr, il y a tout ce qui favorise les problèmes cardiovasculaires : consommation excessive d’alcool et nourriture grasse (dans la moitié nord de la France et dans le sud-ouest en particulier).
Mais il y a aussi la question de la pauvreté et du manque d’information sur ces questions-là, qui joue en particulier dans les territoires et départements d’outre-mer – les plus touchés de France.
C’est plus d’1 habitant sur 300 en moyenne qui est touché dans ces régions, ce qui est considérable.
Et même, en général, le quart le moins aisé de la population française subit 40% de risque d’AVC en plus que le quart le plus aisé.
La qualité de la nourriture (et des huiles de cuisson) est ici à interroger, naturellement.
Il n’en reste qu’une petite cure annuelle de nattokinase, passée les 55 ans, ne peut que vous faire beaucoup de bien.
Je recommande systématiquement à mes patients une nattokinase en particulier : elle a fait ses preuves même sur des cas que les cardiologues jugeaient « irrécupérables »…
Si vous voulez vous la procurer, il vous suffit de cliquer => ICI.
Prenez soin de votre cœur, vous n’en avez qu’un seul !
1 Kurosawa Y, Nirengi S, Homma T, Esaki K, Ohta M, Clark JF, Hamaoka T. A single-dose of oral nattokinase potentiates thrombolysis and anti-coagulation profiles. Sci Rep. 2015 Jun 25
2 https://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2025/HS/pdf/2025_HS_3.pdf
« Tu veux finir comme un légume ? » (le remède anti-AVC qu’on vous cache)